Avec leur taille de quelques dizaines de centimètres et leur coût réduit, les nanosatellites ou « Cubesats » offrent de nouvelles possibilités aux scientifiques. La preuve avec PicSat, le premier nanosatellite du CNRS, mis en orbite vendredi 12 janvier afin d’observer l’exoplanète Beta Pictoris b.
Sur l'exoplanète HAT-P-7b, une géante gazeuse surchauffée qu'ils étudient depuis huit ans, les astronomes pensent avoir détecté pour la première fois des variations de vent dans son atmosphère. Résultat remarquable en soi mais à la conclusion encore plus étonnante.
Située à seulement 95 années-lumière, l’étoile HD 164595 a plusieurs traits en commun avec notre Soleil. Depuis quelques jours, elle intrigue beaucoup les scientifiques. Un fort signal radio provient en effet de sa direction.
Plus les astronomes étudient la fameuse étoile de Tabby (KIC 8462852), plus ses variations de luminosité laissent perplexe. Si certaines hypothèses peuvent expliquer certaines de ces variations, aucune ne semble satisfaisante.
La chasse aux exoplanètes menée avec le satellite Kepler continue d’être fructueuse. Dans le cadre de la mission K2, 104 nouveaux mondes viennent d’être ajoutés, après confirmations avec des télescopes terrestres.
Une fois et demie plus grosse que la Terre, l'exoplanète Kepler-62f est donnée pour habitable par plusieurs simulations, qui, pour la première fois, incluent des modèles climatiques. Tout dépend biend sûr de son atmosphère et aussi de son orbite autour de son étoile, plus pâle et moins chaude que notre Soleil.
Des tempêtes solaires déclenchent des aurores boréales sur Jupiter huit fois plus lumineuses que la normale et des centaines de fois plus puissantes que sur Terre.
Des astronomes ont découvert la première exoplanète de la taille de la Terre située en zone habitable.
Une équipe vient de publier la description d'une exoplanète ressemblant à Vénus gravitant autour d'une naine rouge, pas si loin de nous. Des conditions d'observations uniques.
Repérée par le télescope Kepler, cette étoile connaît des baisses de luminosité. Un astronome l'explique par une hypothèse croustillante : l’existence de structures extraterrestres en orbite autour de l'astre.