À deux semaines des élections européennes, le WWF et le Global Footprint Network alertent sur le jour du dépassement de la Terre qui tombe cette année le 10 mai pour les pays de l’Union européenne.
Sur Mars, les analyses de Curiosity établissent de façon solide la présence de molécules organiques au sein de roches sédimentaires. Ses instruments confirment également la présence de variations saisonnières de méthane dans l'atmosphère autour de lui.
C’est confirmé, le corail digitiforme Stylophora pistillata participe activement à la production de son squelette, contrant ainsi les effets de la diminution de pH de la mer.
Depuis l’été 2016, le monument national marin de Papahānaumokuākea, à Hawaï, a vu sa superficie multipliée par quatre, devenant ainsi la plus grande réserve marine protégée dans le monde. Plus de 7.000 espèces vivent dans ce sanctuaire deux fois plus grand que la France métropolitaine.
Pour répondre à une demande de plus en plus forte, les industriels extraient du sable marin par milliards de tonnes. Avec des conséquences délétères pour les fragiles écosystèmes, y compris sur les côtes françaises.
Les humains risquent de provoquer une extinction sans précédent sur Terre en chassant de manière excessive les grands animaux marins, tout en laissant proliférer les petits et donc de bouleverser durablement les écosystèmes océaniques, ont mis en garde des scientifiques.
Les océans subissent le réchauffement climatique beaucoup plus fortement que les terres émergées.
Si les continents de plastiques sont désormais explorés, peu d'études portent sur la densité des microplastiques dans les zones océaniques ouvertes.
Exposées à la Maison de l’Eau, à Paris, les photographies de Franck Vogel témoignent des ravages de la surexploitation du fleuve américain. Celui-ci n'atteint même plus la mer où il est censé se jeter.
La Grande Barrière de corail australienne, le plus grand récif corallien du monde, est plus menacée qu’on ne le pensait, à cause de l’acidification des océans provoquée par la hausse du taux de gaz carbonique (CO2).
En absorbant une large part de la chaleur et du CO2 émis par les activités humaines, les couches profondes de l’océan, situées au-delà de 200 mètres, atténuent le réchauffement climatique global.