Avec 37 milliards de tonnes de CO2 injectées dans l'atmosphère chaque année, l'humanité bat d'un facteur 10 le taux d'injection record mesuré dans les sédiments océaniques déposés depuis 66 millions d'années, date qui marque l'extinction des dinosaures.
Les végétaux s’adaptent mieux au réchauffement climatique que ne le craignaient les scientifiques, suggère une nouvelle étude selon laquelle la hausse du thermomètre n’altère pas durablement leur capacité de stocker du dioxyde de carbone (CO2).
L’activité du phytoplancton et les processus chimiques autour des très grands icebergs séquestrent efficacement le CO2 de l’atmosphère. L’effet était connu mais largement sous-estimé selon une équipe britannique.